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489. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Guidé par la foi, ce flambeau lumineux, devant lequel toutes les lueurs des temps disparaissent, devant lequel s’évanouissent toutes les rêveries sublimes et profondes de nos faibles esprits forts, je vois sans nuages que les lois sacrées de l’Evangile et la morale profane, le sanctuaire et le théâtre, sont des objets inalliables. […] « Combien de personnes fort chastes, dit le savant cardinal d’Aguire, qui y sentent exciter des passions, dont elles ne s’apercevaient pas auparavant et qui par là donnent insensiblement accès au déréglement.

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