« L’âme était déjà si languissante et si faible lors même que les objets étaient éloignés, et leur souvenir faisait déjà sur elle de si fortes impressions : que sera-ce donc, quand elle sera livrée aux passions des autres, et qu’elle sera assez imprudente pour recevoir tant d’impressions étrangères, et assez aveugle pour savoir gré à tous ceux qui les lui ont données ?