Mais quoique la Comédie ne soit pas condamnée dans la sainte Ecriture en termes aussi formels et aussi exprès, que nous voyons que l’adultère, l’idolatrie et l’homicide y sont condamnés, il ne faut pas laisser néanmoins de faire voir aux chrétiens, qu’elle fournit des principes d’où l’on tire sa condamnation par des conséquences qui sont justes et fort naturelles.