On est édifié dans les Congrégations, on n’y entend que de bonnes choses, on n’y voit que des objets de piété et de bons exemples, on y célèbre la sainte messe, on y approche des sacrements, on y forme des liaisons utiles, on en revient plus réglé, instruit, touché, pieux. […] Celui qui forme le péché s’en rend esclave : Servus est peccati. […] L’idée de la comédie, portée à l’Eglise, portée partout, dégoûte de toute pratique de religion : le théâtre inspire un esprit de dissipation et de frivolité, un goût de mollesse et de volupté, un penchant à la satire et à la malignité, une tournure de mensonge et de fausseté, un ton d’irréligion et d’impiété, le mépris de tout objet sérieux, l’opposition à toute réflexion religieuse ; prière, lecture, instruction, visite des pauvres, pénitence, modestie, en un mot il éloigne de tout ce qui forme la vie Chrétienne.