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36. (1691) Nouveaux essais de morale « XIV. » pp. 151-158

La lecture des Romans et de la Comédie fait le même effet sur les esprits et sur les cœurs : Mais la Comédie a cela de plus, que comme elle est faite pour la représentation, la lecture en est encore plus dangereuse, parce qu’en lisant on s’imagine voir et entendre les Acteurs ; et ainsi la lecture même tient quelque chose de la force de la représentation. […] J’ai de la peine à me résoudre de le dire ; mais enfin la vérité m’y force.

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