Ces fêtes ne furent des folies que parce que c’étoit l’ouvrage du théatre, qui empoisonne tout ce qu’il touche. […] Au retour de ces assemblées nocturnes, chacun selon son caprice racontoit ce qu’il y avoit vu : ce qui forma insensiblement ce corps de créance populaire, qui n’est qu’une folie, que l’on doit sur-tout au Théâtre, qui en donna le goût, l’idée & le modele.