Son pere lui donna ce seigneur naissant pour parrain ; le curé le reçut pour caution de la foi & des mœurs de son filleul : il ne parloient ni l’un, ni l’autre, il auroit fallu un parrain du parrain : ainsi le parrain & le filleul étoit dignes l’un de l’autre, & le début sembloit le prologue d’une comédie.