Les disciplinants après s’être déchiré les épaules, de retour chez eux, se frottent avec des éponges trempées dans du sel et du vinaigre, et se plongent ensuite dans la débauche d’un somptueux repas, pour réparer en quelque sorte le sang qu’ils ont perdu, et flatter la chair qu’ils ont si maltraitée.