Les Peres ne se connoissoient point à flatter cette passion, ils tranchoient nettement que la foy nous y oblige : que la profession de Chrestien engage à une imitation continuelle de Jesus-Christ crucifié, à une participation constante de ses souffrances, & de sa mort ; qu’il n’a promis que de la tristesse & des travaux en cette vie à ceux que par cette communication de ses douleurs il prepare à Mundus gaudebit, vos vero contristabimini.