Peignons l’Amour comme on peint une belle, d’un jour aimable éclairons son tableau, vrai, mais flatté, tel qu’il est, mais en beau. […] Mais, quoique peint en beau, & par conséquent flatté, c’est toujours l’Amour tel qu’il est, c’est le même fonds du vice, & un plus grand danger pour la vertu.