Or le Docteur aurait-il la hardiesse de soutenir que le Nom de Jésus-Christ puisse être glorifié par tout ce qui se passe à la Comédie, et que dans la dissipation où se trouvent tous les sens, et parmi le trouble qui agite souvent le cœur par le remuement de passions, on y soit en état de le tourner vers le Ciel, et d’offrir ses vœux au Père Eternel, au Nom de son Fils crucifié, qui est néanmoins la manière de prier, que Jésus-Christ lui-même a prescrite aux Chrétiens ?