/ 312
216. (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « JEAN-JACQUES ROUSSEAU. CITOYEN DE GENÈVE, A Monsieur D’ALEMBERT. » pp. 1-264

Un Père, un Fils, un Mari, un Citoyen, ont des devoirs si chers à remplir, qu’ils ne leur laissent rien à dérober à l’ennui. […] Un autre force un fils d’égorger son père. Un troisième fait boire au père le sang de son fils. […] Si la plaisanterie est excellente, en est-elle moins punissable ; et la Pièce où l’on fait aimer le fils insolent qui l’a faite, en est-elle moins une école de mauvaises mœurs ? […] Voyez les Entretiens sur le fils naturel, p. 183.

/ 312