J’observe une chose : vous voulez de la modestie dans votre Bal, et vous excitez l’émulation des mères à bien parer leurs filles. […] Le Seigneur Commis, en supposant qu’il n’ait ni son fils ni sa fille dans l’assemblée, sera donc le seul qui pourra prononcer avec impartialité, et rendre compte au Sénat de la conduite de ses danseurs. […] Sur ce rapport, toujours intègre apparemment, on accorderait tous les ans la Couronne à celle des Filles, ou celui des Garçons, qui se trouverait miraculeusement exempt d’aucun de ces reproches.