L’école des meres, des filles, des garçons, des jaloux, semblent promettre de sages leçons sur le mariage. […] On ne peut compter ni sur les femmes, ni sur les filles : il faut s’attendre à leurs chûtes, s’en faire un jeu, & n’avoir pas l’inutile foiblesse de s’en embarrasser. […] Il n’entrera jamais dans l’esprit d’une honnête fille de se faite comédienne ; & la premiere résolution que prendra tout suppôt du théâtre, qui voudra sincérement se convertir, sera de quitter la troupe.