Dans Voltaire, la joie de Luzignan est suspendue par la crainte de retrouver sa fille Musulmane. […] Luzignan est convaincu que Zaïre est sa fille par une croix qu’il apperçoit. […] Il n’avoit donc pas besoin de se munir d’un poignard pour tuer sa fille ; il ne savoit pas qu’elle méritât cet excès de rigueur de sa part. […] Sa fille se jette entre lui & son pere. […] C’est alors qu’il leve le poignard sur sa fille.