Ces pièces, dont la simple lecture, faite dans le silence du cabinet, serait capable d’échauffer votre âme, l’embraseraient d’un feu impur lorsqu’elles sont animées par les voix séduisantes des acteurs et par leurs attitudes passionnées. […] N’est-ce point assez que vous leur ayez communiqué le feu de la concupiscence en leur donnant la vie, faut-il que vous en augmentiez l’activité en les conduisant dans ces lieux pervers ?