Crois-tu que de l’amour esclave déplorable, Quittant un feu sacré pour une ardeur coupable, Mon cœur dans ce lieu saint ait flatté ses désirs, Foit rougir ma vertu de ses lâches soupirs ? […] Le cœur humain est une machine, & le ressort joue, une étincelle met le feu à la poudre.