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285. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

Là, une Symphonie enchanteresse, une Musique molle et insinuante, une Poésie forte et harmonieuse, des Danses séduisantes, des Voix mélodieuses, encore embellies par tout ce que l’Art y a pu ajouter d’agréments, se réuniraient pour souffler de toute part un feu contagieux, et exagérer tous les prétendus avantages d’une liberté sans bornes et sans mesure.

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