C’est là, dit Fléchier, que le démon forge des traits de feu qui enflamment la convoitise, que la mort entre par les sens. […] pour rallumer tout leur feu dans un cœur sensible et privé justement alors des grâces, qui les lui auraient fait vaincre.
C’est là, dit Fléchier, que le démon forge des traits de feu qui enflamment la convoitise, que la mort entre par les sens. […] pour rallumer tout leur feu dans un cœur sensible et privé justement alors des grâces, qui les lui auraient fait vaincre.