Filles séduites ou séductrices, femmes infidelles, maris débauchés, domestiques corrompus, ne sont-elles pas toutes un tissu de scandale ? […] Quel agrement peut avoir une société qui n’est ni embellie, ni animée par les femmes ? […] Il suppose que l’auteur a le même goût que lui pour les femmes. […] Il fait le portrait des femmes qui sont tout le plaisir de la vie. […] Les femmes en font toute la gaieté & le plaisir, & en même-temps la justice de toutes les condamnations qu’en fait la Religion.