Or, le théâtre borne le génie, affaiblit l’âme, rend l’esprit faux, le style bas. […] Quel goût plus faux que d’admirer des attentats dignes des plus grands supplices ou des fanfaronades qui font pitié. […] On ne sait pas trouver de vraies beautés, on se pare de faux brillants. […] Ce n’est qu’un sublime apparent, un faux sublime ; c’est-à-dire nul. L’impiété est détestable, le faux n’est rien.