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42. (1855) Discours sur le théatre, prononcé dans l’assemblée publique de l’Académie de Pau, où se trouvoient les Députés des Etats du Béarn et les Dames de la ville pp. 1532-1553

Or, le théâtre borne le génie, affaiblit l’âme, rend l’esprit faux, le style bas. […] Quel goût plus faux que d’admirer des attentats dignes des plus grands supplices ou des fanfaronades qui font pitié. […] On ne sait pas trouver de vraies beautés, on se pare de faux brillants. […] Ce n’est qu’un sublime apparent, un faux sublime ; c’est-à-dire nul. L’impiété est détestable, le faux n’est rien.

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