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381. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201

Il se moque de ceux qui font l’éloge des talents des Comédiens ; ce qu’il appelle absurde et ridicule, comme tant d’autres faux jugements dont il fait le détail : « Histriones laudans quod absurdum. » (L.

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