Le témoignage de cet allemand fait le plus vif reproche à ceux qui osent déprécier Moliere, y trouver un nombre infini de grossieretés, de platitudes, de mauvais vers, de fausses rimes, de bouffonneries, d’obscénités, que l’académicien brande-bourgeois n’a pas sans doute apperçu, ou plutôt qu’il a pris pour des beautés. […] Ne le voyant pas, elle se livre à la Jalousie qui paroît personnifiée, &, par des fausses confidences, il lui fait croire infidele.