La société qui les adopte, se les rend personnels, et il n’est pas raisonnable de vouloir qu’elle soit la fable d’elle-même. […] « Au fond, quand un homme est allé admirer de belles actions dans des fables, et pleurer des malheurs imaginaires, qu’a-t-on encore à exiger de lui ? […] Leur raison a beau être corrompue au point de les justifier à eux-mêmes, ils savent, comme l’avare d’Horace, qu’ils sont la fable et la risée du peuple, et ils se cachent pour s’applaudir.