La gigantesque taille de Polyphème dans la fable, et de Gargantua dans Rabelais, est plus supportable : un homme sera plutôt égal à une montagne qu’il n’approchera de la Divinité.
La gigantesque taille de Polyphème dans la fable, et de Gargantua dans Rabelais, est plus supportable : un homme sera plutôt égal à une montagne qu’il n’approchera de la Divinité.