qui permettent à quelques personnes, dans la vue de quelque utilité, et non de quelque plaisir, de lire les Comédies et les Fables des Anciens ; mais on n’a jamais permis d’assister aux Comédies, et d’en être spectateurs. […] « Dans le siècle où nous vivons, dit ce savant Evêque, où l’on est fort adonné à tout ce qui ressent la fable et la bagatelle, on ne se contente pas de prostituer ses oreilles et son cœur à la vanité ; mais on est encore ravi de charmer sa paresse par le plaisir des oreilles et des yeux, on est ravi d’enflammer la luxure, en cherchant à fomenter le vice. […] L’on peut dire ici que les personnes qui mènent leurs filles à la Comédie, sont bien éloignées de l’esprit de la Mère de Sainte Macrine sœur de Saint Grégoire de Nysse. « La Mère de cette Sainte, dit ce Père, avait un grand soin de la faire instruire ; et entre autres choses elle ne lui permettait point de lire les fables ni les Comédies : car S.