N’auroit-on pas pris dans ces rêves les innombrables couronnes dont tout est honoré sur la scène, en particulier la couronne qu’on offrit en cérémonie à la Dangeville, le jour de sa fête, à Vaugirard ? […] Ce poëme est le mêlange le plus indécent du sacré & du profâne ; les anges & les saints s’y trouvent avec les femmes de mauvaise vie, le poëte invoque Saint Michel & sa maîtresse, il passe de l’église au temple de Venus, d’une cérémonie religieuse à une fête galante, d’une maxime de l’évangile à une morale lubrique, du Pape à Mahomet.