Fêtes de Théatre. […] Pour bien célébrer ces deux fêtes, & attirer la bénédiction du Ciel sur leur mariage, il y eut dans le parterre des places préparées pour eux. […] On n’ose pas dire un bal chez le Curé ; on ne voit pas de pareille fête chez les Curés de Paris. […] On ne dit pas qu’il y eût ensuite une comédie, elle n’étoit pas nécessaire, la fête même en étoit une. […] Mais pourquoi ne pas donner aussi la comédie, pour completter la fête ?