/ 296
10. (1675) Lettre CII « Lettre CII. Sur une critique de son écrit contre la Comédie » pp. 317-322

De sorte que n’étant pas capable d’une double attention, je me suis étonné combien il m’est échappé d’expressions peu exactes. […] Il faut couvrir l’un et découvrir l’autre : les expressions les plus délicates sont les meilleures pour le premier, et les plus grossières pour le second, parce qu’elles le font mieux connaître dans sa difformité naturelle. […] Il fallait donc des expressions simples et grossières où l’orgueil parût tout pur, et sans déguisement, comme il paraît en ces deux vers.

/ 296