Il en prend son Ami à témoin, il insulte à ceux qui ne sont pas de son avis ; et il traite de Réformateur un des plus grands hommes du siècle, parce qu’il soutient que dans les Comédies d’aujourd’hui il y reste toujours quelque chose de la première corruption des Spectacles ; et que d’y assister, c’est s’exposer à faire naître des passions que les Chrétiens sont obligés de réprimer avec toute l’application dont ils sont capables. […] Cet exposé seul ne vous fait-il pas horreur ?