Et ainsi il faut avouer que c'est un emploi profane et indigne d'un Chrétien ; que ceux qui l'exercent sont obligés de le quitter, comme tous les Conciles l'ordonnent ; et par conséquent qu'il n'est point permis aux autres de contribuer à les entretenir dans une profession contraire au Christianisme, ni de l'autoriser par leur présence.