de Sénancourt blâme la surveillance, qu’on voudrait exercer sur la conduite de quelques mauvais prêtres de nos jours. […] Tout pontife romain, qui a prétendu exercer, dans ce bas monde, une monarchie universelle terrestre, ou temporelle, a cessé dès lors d’être véritablement chrétien, ou du moins de professer les maximes et la doctrine de Jésus-Christ, qui a dit formellement : Mon royaume n’est pas de ce monde ; mais l’ambition immodérée qui chez les gens d’église est devenue, pour ainsi dire, une seconde nature, fait disparaître l’humilité, le désintéressement et la charité évangélique qui devraient toujours distinguer les ministres de l’autel.