D’où provenait donc l’influence que le clergé exerçait sur la nation ? […] Il reste donc aux procureurs et avocats-généraux près nos cours royales, aux procureurs du roi, aux préfets, sous-préfets et maires des diverses communes de bien se pénétrer de la suprématie de la puissance séculière sur la puissance ecclésiastique, et de l’autorité que le prince, en sa qualité de protecteur des saints canons, doit exercer sur les ministres du culte, afin de faire rentrer dans la discipline de l’Eglise ceux qui pourraient s’en écarter.