Je suppose que ces Pieces dramatiques nous enseignent à détester le vice, à fuir le crime, à nous défier de nos foiblesses, à craindre nos passions, à les sacrifier au devoir ; qu’elles nous excitent aux vertus les plus sublimes, aux actions les plus héroïques : dira-t-on que l’Auteur de pareils Ouvrages s’en doive accuser comme de péchés capitaux ? […] Racine le jugeoit très-propre pour le Théatre, par la violence des passions qu’il y pouvoit exciter.