C’est assez de sentir combien les jeux plaisans, les propos facétieux, sont éloignés de la comédie dans l’état où nous la voyons, où tout tend à exciter les passions, où tous les objets sont dangereux, où l’assemblage artisé de tous les dangers imaginables forme une totalité de tentation à laquelle on ne résiste pas, dont les effets sont aussi funestes qu’inévitables.