Casaubon, sur cet endroit d’Athenée, cite les vers d’une églogue appellée Theopompea, où parlant de la parure d’un petit maître, Cultum & mollitiem nescio cujus trussori , on dit qu’il avoit si savamment parfumé & si artistement arrangé ses cheveux par le moyen des pommades, des aiguilles de tête & autres instrumens de tête appellés crinales, qu’il leur avoit donné la figure des aîles d’un oiseau au dessus de la tête, une derriere à chaque oreille, comme un oiseau prêt à voler, ou comme Mercure qui avoit des aîles à son bonnet : Elata coma in altum ex utrâque parte capitis speciem alarum exhibebat.