Comment pourrait-elle donc allier avec une crainte si juste des maux effroyables qui la menacent, les vaines réjouissances du monde, et repaître son esprit des chimères dont les Comédies le remplissent ? […] De sorte que lorsqu'elle s'y abandonne, il faut que ce soit en s'aveuglant elle-même, en perdant le souvenir de ses dangers, et en étouffant ainsi cette disposition par laquelle le saint Esprit entre dans le cœur, et qu'il y entretient tant qu'il y demeure.