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286. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

J’avoue que tout le fruit de ces Tragédies se borne à entretenir en nous une sensibilité compatissante pour des crimes involontaires, et pour des malheurs indépendants de celui qui en est accablé, comme dans Œdipe et dans Phèdre.

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