Ainsi la comédie et la tragédie ; le plaisant de l’un et le sérieux de l’autre, sont également proscrits de sa République, comme capables « d’entretenir et d’augmenter » ce qu’il y a en nous de déraisonnable.
Ainsi la comédie et la tragédie ; le plaisant de l’un et le sérieux de l’autre, sont également proscrits de sa République, comme capables « d’entretenir et d’augmenter » ce qu’il y a en nous de déraisonnable.