Je suis persuadé que si cet écrivain justement célèbre pouvait revenir parmi nous et comparer son temps avec celui qui l’a suivi jusqu’à l’époque actuelle, il avouerait lui-même qu’il s’est trompé ; que non-seulement il n’a rien fait d’utile pour les mœurs, mais qu’ayant frappé leurs ennemis inconsidérément, il a tué les bons au lieu de corriger les méchants.