On y mène les enfants, afin qu’ils y apprennent, dit-on, de bonne-heure à connaître le cœur de l’homme, et à en éviter le ridicule. […] Assurément on leur devient semblable, quand on les va voir souvent ; et les enfants s’y corrompent de manière qu’on ne peut après cela leur retenir l’esprit, ni les rappeler à la raison. […] On commencera par lui retrancher tout ce qu’il y a de grossier : et on n’écoutera pas ces gens, qui disent que cela donne plus d’envie aux enfants de le voir.