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37. (1802) Sur les spectacles « FUITE DES MUSES ET DU BON GOUT : Peut-on compter sur leur retour ? » pp. 3-11

Si le géant ne réussit qu’à se retourner et à changer de côté ; l’aimable enfant aura bien de la peine à se dégager tout à fait d’un fardeau plus pesant que des monts entassés. […] Des hommes déguisés en Ours ou en Chats bottés, des enfants et des femmes mourants sous le couteau, voilà le To-kalon, le beau par excellence3. […] On y mène jusqu’à l’enfant qui tète !

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