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308. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

Pourquoi ces jeux d’enfant, puisqu’une nouvelle disposition de la scène, en laissant le Proscénion moins vide, parerait à cet inconvénient, & ferait que le personnage qui se cache, ne serait vu que de ceux dont il doit l’être ? […] Je compare Corneille à un père, qui place le déjeûné de son fils dans un endroit inaccessible : l’enfant approche, fait des efforts, mais se décourage enfin : un peu plus bas, il se fût exercé à le saisir.

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