Pourquoi ces jeux d’enfant, puisqu’une nouvelle disposition de la scène, en laissant le Proscénion moins vide, parerait à cet inconvénient, & ferait que le personnage qui se cache, ne serait vu que de ceux dont il doit l’être ? […] Je compare Corneille à un père, qui place le déjeûné de son fils dans un endroit inaccessible : l’enfant approche, fait des efforts, mais se décourage enfin : un peu plus bas, il se fût exercé à le saisir.