Il semble donc que les spectacles, à ne les considérer encore que du côté de l’amusement, peuvent être accordés aux hommes, du moins comme un jouet qu’on donne à des enfants qui souffrent. […] que l’avarice des pères produit la mauvaise conduite des enfants ; enfin dans toutes, cette vérité si utile, que les ridicules de la société y sont une source de désordres. […] On rit de sa mauvaise humeur, comme de celle d’un enfant bien né et de beaucoup d’esprit. […] » s’écrie l’Enfant prodigue, après avoir fait à son valet la peinture odieuse de l’ingratitude et de la dureté de ses anciens amis ; « Et les femmes ? […] [NDE] L’Enfant prodigue (repr.1736, publ.1738), comédie en cinq actes de Voltaire.