On leur destinera par année des gages qui se monteront à trois cents livres : mais ils n’en disposeront pas : l’Administration retiendra ces sommes les fera profiter par le commerce, & s’en servira pour en former les établissemens des Affranchis qui auront obtenu la permission de quitter le Théâtre ; ou, s’ils meurent Acteurs, de leurs enfans. […] Les enfans nés des Acteurs & des Actrices, seront libres, & ne seront point distingués des autres Citoyens.