Un chrétien qui ne doit connaître que la mortification et la pénitence, qui, dans son baptême, a renoncé à la chair ; qui s’est engagé par là à ne pas vivre selon les sens, à ne pas flatter les désirs corrompus de son cœur, peut-il fréquenter des endroits où tout ne lui inspire que l’indolence, la mollesse et le plaisir ? […] On regarde l’effet comme une partie si essentielle à la pièce, que, si elle manque par cet endroit, elle passe pour un ouvrage froid et insipide.