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42. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

Car chacun porte avec soi la preuve sensible que rien n’offense plus que le mépris : et il n’est point d’endroit par où l’homme marque plus à Dieu qu’il le méprise que par de continuels serments. […] Ces exemples, excepté les serments, sont ce me semble, tous les endroits le plus à reprendre dans Térence. […] Ainsi, Sophocle n’a pas aussi religieusement manié cet endroit que le précédent. […] Voici encore un endroit critique de Sophocle. […] Cependant, Euripide est blâmable en quelques endroits, où il ne met aucun correctif : mais le procédé d’un Païen qui ne prévarique que rarement, ferait encore notre condamnation, quand nous ne serions pas ce que nous sommes de plus que lui.

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