Lorsqu’on se dit à soi même ; que va-t-on penser de tel endroit de mon Livre ? […] J’ai peut-être apperçu les endroits, contre lesquels on s’élevera davantage. […] Ai-je besoin d’avertir que je ne veux défendre que deux ou trois de ces endroits qui m’ont fait le plus de peine, & qui éxciteront le plus la mauvaise humeur ? […] Si j’ai osé plaisanter dans quelques endroits de cet Ouvrage, je l’ai fait afin de distraire le Lecteur. […] Ai-je besoin d’avertir le Lecteur, que quelques endroits de cet Ouvrage ne sont qu’ironiques ?