« Qu’on mette, dit-il, pour voir, sur la scène Française, un homme droit et vertueux, mais simple et grossier… qu’on y mette un sage sans préjugés qui, ayant reçu un affront d’un spadassin, refuse de s’aller faire égorger par l’offenseur ; et qu’on emploie tout l’art du théâtre pour rendre ces personnages intéressants, comme Le Cid, au peuple Français, j’aurai tort si l’on réussit. […] Rousseau n’emploie, et qu’il ne manie avec beaucoup d’art, pour attaquer les mœurs du théâtre.