Mais les attaques successives que l’empire eut à essuyer, et qui, enfin, dans le cinquième siècle, le détruisirent dans l’Occident, firent cesser des jeux qui ne pouvaient se concilier avec les fréquentes inondationsg des barbares. […] Mais leurs succès n’en imposèrent point aux savants des deux derniers siècles ; on les vit s’élever contre des poèmes dont la perfection littéraire ne tendait qu’à augmenter encore l’empire des vices.